Biarritz ready

Ça y est, à l’heure où vous lirez ce post, je serai sur la route pour le Wheels and Waves. Enfin, à l’heure où je serai sur la route, vous serez vous aussi sûrement sur la route. Donc vous lirez ce post plus tard… Bref.

Le départ pour Biarritz a été bousculé. Après avoir tout bien planifié, comme j’aime le faire, il y plusieurs semaines, voir plusieurs mois, tout était réglé. Les partantes confirmées, le logement loué, le train réservé. Et puis bien sur : GRÊVE. 1 semaine avant de partir ; « Bonjour madame c’est la SNCF, y a grève, donc y pas plus de train, donc c’est pas la peine de nous apporter votre moto à Bercy. Merci madame. Au revoir madame ». Entre le statut de rideuse et celui de motarde du dimanche il n’y avait qu’un obstacle, la SNCF. Nous le franchissons malgré nous. Donc oui, nous sommes partie à 4 gonzesses en moto pour Biarritz, aller-retour, balade de 250 km sur place incluse.

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Parmi les préparatifs il y a la problématique du sac. Il doit être imperméable, pas trop gros pour tenir sur la moto, assez pour transporter 5 jours de fringues et autres. Cette étape fut très angoissante. Qu’est ce que j’emporte? Pratique VS esthétique. L’éternel dilemme à moto. Alors j’ai taillé dans le gras, choisit minutieusement chaque t-shirt, paire de chaussures, pull. J’ai tellement rationné qu’il me restait finalement de la place. J’ai donc ajouté une petite robe et un bidon d’huile. On ne sait jamais. Les 2 peuvent servir.

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Enfin j’ai mis du vernis. Mais mon organisation est à revoir. Je n’avais pas encore fermé mon sac. Et vous n’avez peut-être pas conscience de cette problématique, plutôt féminine j’avoue (quoi que…), mais quand on se met du vernis il faut s’assurer d’avoir fait tout ce qu’il y a a faire AVANT. Sinon c’est la merde. Bref.

On est sur la route. Si vous croisez une équipée sauvage, c’est nous.
See you on the beach.