Mais pas de Waves. Pas cette année. Ca tombe bien, j’avais laissé la planche à Paris.
Oui le sujet principal de l’édition 4 du Wheels and Waves c’était bien la pluie. Sous toutes ses formes : bruine, tempête, grêle, orage, gadoue, flaque et le meilleur bien sûr, le cul mouillé pendant 4 jours. Il a tellement plu que certains rois se sont transformés en crapauds. C’est dire…
Pour autant c’était bien! On gardera en souvenir l’heure passée au col d’Izpegi a attendre de voir plus loin que le bout de son bras pour repartir (#ChamiForRoadCaptain). Les tapas a tomber par terre a Hondarribia. Les rencontres et les retrouvailles. La diète hotdogs, bières, bretzels (quoi de mieux?). Les motos partout. Les tours de Biarritz sous la pluie.
Rendez-vous l’an prochain et cette fois W&W, promis, je ne laisserai rien se placer entre toi et moi. A part le soleil.
[…] J’ai roulé à coté, loin, longtemps, pour rien, trop tôt, seule, avec plein de gens, sous la pluie, brulée par les cylindres, ici, la-bas, tout est neuf et tout est… Sauvage. La prévision […]
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[…] Mais c’est bien plus que ça, bien au delà de la Cité de l’Océan, autant côté mer que côté montagne. C’est une ville pleine de bécanes, dans tous les sens, partout où tu regardes. C’est des amis, des connaissances, des nouvelles rencontres, dans tous les sens, partout où tu regardes. C’est de la pluie aussi, dans tous les sens, partout où tu regardes. En vrai, tous ceux qui diront qu’il a plu cette année n’étaient pas là l’an dernier. Tu n’as pas vécu un voyage sous la pluie si tu n’as pas fait le Wheels and Waves en 2015. […]
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