La 3ème c’est la bonne

N’en déplaise aux licornes parisiennes, j’aime le Wheels and Waves et je l’assume.

Oui c’est un repère de hispters, barbus, motards, à chemises à carreaux (et j’aime ca). Oui il faut payer pour aller acheter un t-shirt avec le logo d’un dieu balinais. Oui tu ne feras pas la punk’s peak si tu ne fais pas parti du serail (ils ont été tous punis cette année anyways).

Mais c’est bien plus que ça, bien au delà de la Cité de l’Océan, autant côté mer que côté montagne. C’est une ville pleine de bécanes, dans tous les sens, partout où tu regardes. C’est des amis, des connaissances, des nouvelles rencontres, dans tous les sens, partout où tu regardes. C’est de la pluie aussi, dans tous les sens, partout où tu regardes. En vrai, tous ceux qui diront qu’il a plu cette année n’étaient pas là l’an dernier. Tu n’as pas vécu un voyage sous la pluie si tu n’as pas fait le Wheels and Waves en 2015.

Beaucoup de pression cette année pour vivre un week-end serein. Les sessions précédentes étaient semées d’embuches… J’avais même prévu de ne pas y aller. Mais il me fallait un auto-cadeau pour tenir cette convalescence, alors j’ai craqué ! Un billet d’avion, un chauffeur, un appart, je suis même venue avec mes barbus. Et pour faire de ce week-end une édition mémorable, je me souviendrais de ces (très) vieux et (très) lointains amis, totalement non motards, croisés au hasard de mes déambulations là-bas.

On a bien fêté ca ! Les rides? Quels rides?!