Des roues, des copains et des Harley

Enfin juillet, enfin un peu de calme et de canicule. Enfin un peu de plage le matin pour se réveiller, de sieste l’après-midi pour se reposer et d’apéro au coucher de soleil pour bien dormir. Ne reste que le son entêtant des cigales pour vous rappeler la réalité. Pardon, les parisiens ? Vous ne vivez pas ça ? Je ne comprends pas …

Au milieu de ce programme intense de nouvelle marseillaise, reste les souvenirs de ce mois de juin bien rempli. Dans le désordre je vous ai raconté les tresses au café racer festival, l’aventure Corse et je n’ai pas encore évoqué le Wheels & Waves (à part dans cet article pour Roaditude).

Pas de doute sur ma participation au Wheels cette année. Ayant la liberté de mon emploi du temps, une nouvelle route Marseille – Biarritz à explorer et une opportunité pour enregistrer un nouvel épisode du Podcast, l’affaire était pliée et organisée dès le début de l’année. La vie n’étant que surprises et imprévus, c’est finalement seule que je suis allée dans le sud-ouest. Heureusement je pouvais compter sur les copains que je retrouvais sur place pour mettre la bonne ambiance.

3 jours avec la team Harley-Davidson, c’est des bonnes blagues, des bons restos, des supers balades. C’est des motards qui deviennent des amis, des amis qui deviennent la famille de la route. #poete

Chaque année un peu plus, le Wheels n’est plus qu’une excuse pour retrouver des tonnes de motards à Biarritz. Le village n’a que peu d’intérêt, l’entrée y est cher et il ne s’y dégage aucune ambiance, aucune énergie. Restez sur le parking à admirer toutes les bécanes qui ont fait le déplacement. Allez chez Miguel à la nuit tombée pour voir les nuages de burns. Baladez vous dans la ville pour dire bonjour à un copain croisé à chaque coin de rue. Et surtout profitez des événements. Ils sont loin de Biarritz, sont l’occasion de découvrir les environs, de passer en Espagne, de voir la mer depuis des points de vue magnifiques.

Si vous avez la chance d’éviter la pluie, c’est le bonheur. Si vous la croisez quand même, c’est la tradition. Faites séchez vos fringues pendant que vous vous remettrez avec une côte de boeuf au Bar Jean arrosé d’un Luis Canas de 2010. Et buvez dans modération puisque vous rentrez à pied !